A ma première lecture de ce roman j’avais bloqué sur un seuil , celui de la télépathie d’un personnage au centre du roman qui est télépathe et : Je ne digérais pas du tout la télépathie , depuis j’ai mis de l’eau dans mon vin ...
Quatre cent milliard d’étoiles est un roman de science-fiction de qualité en fait .
Le récit ( qui est assez court ) s’articule en quatre parties nettement différenciées .
La société humaine est engagée dans un conflit âpre et dure avec une société extraterrestre .
Le roman se passe en partie sur une planète où entre autres espèces , l’ennemi vivrait en étant retourné à l’état sauvage .
On comprend naturellement l’importance de cet enjeux et ces bestioles sont étudiées par notre ami télépathe .
L’intrigue développe des enjeux beaucoup plus vastes et c’est de la hard science excessivement soft et digeste .
Franchement c’est un planète opera tout à fait correct et bien écrit .
Le véritable enjeu du roman concerne le rapport intime que les civilisations peuvent entretenir avec leur environnement et même avec le cosmos en général , donc des questions de portée très générale en fait ...
C’est peut-être bien mon préféré de l’auteur ...